Samedi soir, les restaurants doivent être bien pleins vu le public présent tout au long de la journée. Pour ne pas perdre de temps, les jardiniers se sont donné rendez-vous sous la tente VIP pour un pique-nique comme le WE dernier : apéritifs – pizzas. Nous avons même droit à un dessert (belge). |
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Nous profitons du coucher de soleil. Peu de vent et quelques gouttes de pluie viennent nous rappeler que rien n’est jamais garanti.
Gérard nous a fait faire des répétitions dans la semaine. Un dernier brief avant de rentrer sur le terrain, où il rappelle à chacun sa place et son rôle.
Il s’agit plus d’un spectacle de nuit qu’un vol de nuit. C’est l’histoire d’une petite fille qui, lasse d'une planète où tout le monde marche sur la tête, se réfugie dans un pays peuplé de rêves, sur une autre planète, là où les poissons volent …
Elle rencontre d’autres enfants, mais son rêve se transforme en cauchemar. Plusieurs tableaux viendront illustrer cette histoire. La nuit est tombée, la pluie a cessé. |
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Il est temps de sortir les poissons de leur aquarium. Les Flics enfilent leur tenue blanche. Les préparatifs se font dans la bonne humeur. Côté poissons, c’est Bernard qui nous donne les dernières consignes : Quand Coralie rêve, les poissons déambulent, quand les cauchemars arrivent les poissons se regroupent, et nous mettons genoux à terre… Yaplusqua !! |
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Pour les pilotables il y a assez de vent (enfin presque), mais pour les plus grands cerfs-volants, comme celui de Daniel qui ouvre le spectacle, ou l’envol de l’ange il faudra utiliser d’autres moyens humains : courir et tirer.
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Après le vol de nuit, un spectacle pyrotechnique. On pose nos poissons pour en profiter… mais l’un d’entre nous a une nouvelle idée. Faire des photos de poissons-artifice ; Et comme on est toujours solidaire chez les jardiniers… On le fait. On dirait de grosses bougies d’anniversaire qui s’embrasent. |
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Le seul regret quand on est participant, est de ne pas avoir une vue globale sur le spectacle, mais, malgré le vent un peu faible, ce fut réussi. D’ailleurs Gérard lui-même a commenté « Vous voyez… quand vous voulez » |
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